LA LUMIÈRE en PLACARD
Je ne vais pas m’attarder sur les raisons évidentes de l’utilité de la
pour le cannabis. Photosynthèse, patata, transformer, patati, eau et CO2, patata…sucre.
Donc en gros, pas de lumière, pas de bouffe. Pas de bouffe, pas de sucre.
Le sucre est la base des différentes transformations chimiques des plantes.
Tout ça pour dire qu’il faudra systématiquement une source de lumière pour faire pousser les petites.
Quelqu'uns (unes) en doutaient-ils (elles)
Quels types de lumières
Les néons
Ils sont intéressants pour les boutures. Certains (es) cultivateurs (trices) les utilisent
pour les périodes de croissance et de floraison, surtout dans les petits placards.
A watt égale le néon émet environ quatre fois plus de lumière qu'une lampe à filament.
Leur lumière est diffuse et perd en intensité. Ils dégagent peu de chaleur
et les plantes pourront, même devront, être placées au plus prêt.
Le néon est aussi très intéressant en complément d’une autre source de lumière.
Petit inconvénient, il vous faudra presque ouvrir un magasin de luminaire,
il faut à peu près un tube tout les dix centimètres pour palier à la perte d’intensité.
De quelques euros à 150€ pour des rampes de turbo néon
Le néon pour la croissance
La croissance demande une lumière froide, un spectre bleu convient idéalement.
Pour du bouturage un tube de 18 watts tout les trente centimètres suffit.
Une fois l’enracinement survenu les besoins en lumière augmentent.
Le néon pour la floraison :flower:
Une lumière chaude est nécessaire pour la floraison.
Pendant cette phase, le cannabis utilise plus de lumière rouge que pendant la croissance.
Les néons perdent environ 25% de leur capacité tous les ans et les extrémités s'opacifient.
Ils existent en de nombreuses longueurs. A chacun (e) de voir ce qui sera le plus pratique
et le plus efficace selon ses besoins. Il faut savoir qu’un tube néon perd jusqu'à 40 %
de son intensité si il ne possède pas de réflecteur qui renvoi la lumière vers le bas.
Lampe MG envirolite, ecolite…
Le ballast est intégré. On la trouve dans différents spectres en 125, 200, 250 watts.
Leur gros avantage est qu’elles ne chauffent pas ou peu, les plantes
pourront donc être placées au plus prêt sans risque de bruler les feuilles.
Elles sont aussi idéales pour celles et ceux qui cultivent dans de petits espaces.
Encore un avantage, la quasi-totalité de la lumière est utilisée, donc très peu de déperditions.
Par contre leurs intensités est moindre que les HID.
D'environ 50 à 120€
Les lampes à décharge de haute intensité (HID)
La lampe à iodure de métal (MH)
La lampe MH émet un spectre banc aux reflets bleutés. Elle est généralement
utilisée pour le bouturage et ou la croissance. Parfois aussi en complément des HPS
pour la période de floraison. On les trouve en 175, 250, 400 et 1000 watts.
Comme les néons, une partie de l’intensité disparaît dans la nature, il convient
de combiner cette lampe à un réflecteur pour atteindre les 50 % d’efficacité.
Un ballast spécifique est nécessaire.
Elle dégage une forte chaleur qu’il est obligatoire de maitriser par différentes techniques,
Intraction, extraction, ventilation, cool tube.
De 30 à 90€ selon la marque et la puissance sans le ballast
La lampe au sodium haute pression (HPS)
La lampe HPS émet une lumière rouge orangé. Elle convient donc parfaitement
pour la phase de floraison. Les lampes HPS sont disponibles en 150, 250, 400, 600 et 1000 watts.
Comme les MH, il est nécessaire d’avoir un réflecteur et de maitriser la chaleur qu’elle dégage.
Elle fonctionne également avec un ballast spécifique.
On trouve actuellement dans les commerces spécialisés des ballasts
où il est possible de brancher indifféremment une MH ou une HPS.
A peu de chose prêt le même prix qu’une MH
Si l’on doit en choisir une.
MH ou HPS
Le spectre rouge est utilisé plus efficacement que le spectre bleu pour la photosynthèse du cannabis.
La HPS offre donc au cannabis plus d'énergie pour celle-ci.
La MH qui émet plus de lumière bleue favorise très nettement l'enracinement
et donne des plantes moins étirées.
En conclusion débuter une culture sous MH, continuer la phase de croissance avec une HPS
qui restera en place jusqu'à la fin de floraison semble être un bon compromis.
Toutefois si vous ne deviez posséder qu’une lampe, il semble évident d’opter pour la HPS.
La bougie
On la trouve dans toutes les bonnes drogueries (c’est pour cela que j’en parle).
Sont spectre est plutôt orangé. Pratique, pas trop onéreuse à l’achat,
elles peuvent-être parfumées, de couleurs différentes…
Elles ont certains avantages, mais il faut se rendre à l’évidence, elles sont à proscrire.
Il va bien y avoir un naze pour me dire : Pourquoi
A cause de la mèche.
La mèche en brulant fait de la suie, qui, trop lourde retombe sur les feuilles et les étouffe.
Les vers luisants
Il est possible d'après pistolerosd'utiliser les vers luisants et autres lumières naturelles.
Malheureusement elles sont très difficile à gérée car ils n'est pas possible de leur mettre un timer au cul si. Donc le travail doit se faire manuellement, il faut les rentrer et les sortir chaque jour ce qui peut poser problème.
Lucioles et fermiers mexicains
Quant à shiva il utilise les lucioles, et fait travailler des fermiers mexicains qui appellent la lumière cosmique.
De 1€ pour les plus petites à 60€ pour les plus belles
Les thunes
À l'achat et dans cet ordre HPS et MH sont les plus couteuses quant on inclut le ballast.
Par contre si l'on regarde le coût par unité de lumière produite, HPS et MH
(toujours dans le même ordre) deviennent les moins chères.
Le spectre
On en parle pour ces cinq sources de lumière, mais qu’est ce que c’est
Le spectre de la lumière pour les plantes n’est pas un fantôme
ou une quelconque créature
fantastique, ou encore l’esprit d'un mort prisonnier sur Terre. C’est l'analyse du rayonnement, cela pourrait se traduire par différentes longueurs d'ondes.
Pour produire de la chlorophylle, le cannabis a besoin de spectre spécifique comme le rouge et le bleu.
La plante se sert également d’autres spectres en moindre mesure.
Les lumens
Pour faire simple c’est l’intensité lumineuse.
D’habitudes à ce moment là de ce genre de tuto, il y a un tableau explicatif
Souvent fastidieux à comprendre, plein de couleurs avec des diagrammes remplis de chiffres.
Le temps que vous passeriez à lire ce tableau pour en retenir que quelques brides, peut-être
utilisé à autre chose. Comme mes cheveux, par exemple.
Les premiers sont apparus en 1970. Tout blond et pleins de grosses bouclettes.
Plutôt long dans les années 75.
Au début des années 80 ils sont toujours blonds mais les grosses boucles on disparut,
normal sur les cheveux court c’est nettement moins visible.
Sans suit la première coupe "mode".
Nous voila vers 1985, la couleur passe au châtain, on s’en fou puisque à ce moment là
j’ai une crête qui passe par différentes couleurs.
Voici les premiers cheveux blancs (16 ans).
Fin des années 80 et début 90 c’est l’époque cheveux long,
les boucles sont toujours là et le châtain fonce.
Après cette période et jusqu'à aujourd’hui, je porte des dreadlocks,
mais comme les cheveux longs me font chier,
je les laisse à l’intérieur et ils ne ressortent que de 3 à 4 mm maxi.
Le blanc, d’après marou, est la couleur dominante.
Ce que l’on peut retenir
de ce tableau : Toujours approcher le plus possible la source lumineuse des plantes.
Ou l’inverse, ça marche aussi. Tout en contrôlant la chaleur émise par la source.
Plus on s'éloigne, plus les lumens diminuent.
Plus la lumière est puissante, plus la récolte se fera vite et en grande quantité.
Plus les plantes reçoivent une forte quantité de lumière, plus elles seront fortes,
Les fleurs seront plus denses et compactes.
Les réflecteurs
On à vu qu’il y avait une perte de lumière et que l’intensité décroit avec
la distance qui sépare la plante de la source.
Afin de perdre le moins possible du volume de lumière il convient d’utiliser un réflecteur.
Celui-ci dispersera la lumière sur une surface plus large.
Souvent en matière relativement souple il est possible de les façonner à souhait.
Le réflecteur en aluminium est plus performant qu’un réflecteur blanc.
Éviter les réflecteurs en acier ils absorbent une partie du spectre de la lumière.
Pour réfléchir la lumière
Nous avons tout intérêt à limiter les déperditions
Il s’agit ici de récupérer la lumière qui se perd sur les parois.
De la peinture blanche, du polyéthylène blanc, des feuilles d'aluminium,
du Mylar, du papier cadeau métallisé….
Pas de miroir, ils absorbent une grosse partie de la lumière.
Préférer un matériau opaque qui en plus de réfléchir empêchera la lumière extérieur de rentrer.
Voila, ce tuto a pour objectif d’aider les débutants(es) à faire leurs choix.
Tchao
:respect: 
