Re: La mort est dans le pré
Publié : 20 avril 2012, 14:43
Alors revenons en arrière :
avant le chimique, l'état à lancer le remenbrement (échanges des terres pour qu'une exploitation ai toutes ses terres
d'un seul tenant) ce remenbrement à tué déjà tous ceux qui s'y sont opposer....
le but étant pour les vicieux de refiler des terres impropres et de récuperer du bon limon....à ce stades c'était pour l'état :
diviser le monde agri entre petits et les nouveaux "gros"....
Ensuite via les chambres et les syndicats à forte doses d'infos, de formations, faitent par bayer et autre
de démontrer qu'avec leurs produits
tu fesait une récolte de 80 qx alors que ton voisin arrivait à 50 qx/ha et là tu est le roi du comté.....
les agris se sont toujours fait avoir par leur coté "j'en ai une plus grosse que toi"
Exact pour une grande majorité, le plus déplorable c'est que ces jeunes cons, savent très bien ce qu'ils font, mais vu l'appat du gain
Bref avidité humaine vs conscience humaine et écologie
Plouff : l'avidité gagne
triste
avant le chimique, l'état à lancer le remenbrement (échanges des terres pour qu'une exploitation ai toutes ses terres
d'un seul tenant) ce remenbrement à tué déjà tous ceux qui s'y sont opposer....
le but étant pour les vicieux de refiler des terres impropres et de récuperer du bon limon....à ce stades c'était pour l'état :
diviser le monde agri entre petits et les nouveaux "gros"....
Ensuite via les chambres et les syndicats à forte doses d'infos, de formations, faitent par bayer et autre
de démontrer qu'avec leurs produits
tu fesait une récolte de 80 qx alors que ton voisin arrivait à 50 qx/ha et là tu est le roi du comté.....
les agris se sont toujours fait avoir par leur coté "j'en ai une plus grosse que toi"
Si de tels agriculteurs, dont, pour beaucoup, la descendance roule en berlines allemandes aujourd'hui
Exact pour une grande majorité, le plus déplorable c'est que ces jeunes cons, savent très bien ce qu'ils font, mais vu l'appat du gain
Bref avidité humaine vs conscience humaine et écologie
Plouff : l'avidité gagne
triste